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nl9octobre10

 

Actualité du supérieur

 

« Regards sur l'éducation 2010 » : publication du rapport de l’OCDE

L’OCDE vient de publier l’édition 2010 de son rapport annuel sur une analyse comparée des systèmes d’éducation des pays membres. En ce qui concerne l’enseignement supérieur, ce rapport pointe un certain nombre d’indicateurs.

Tout d’abord, il note que 31 % des étudiants des pays de l'OCDE échouent dans l'obtention d'un diplôme universitaire. Les taux de réussite varient considérablement selon les pays, allant de plus de 40 % aux États-Unis, au Mexique, en Nouvelle-Zélande et en Suède, à moins de 25 % en Belgique (Communauté flamande), en Corée, au Danemark, en Espagne, en France et au Japon.

Les taux de réussite sont moins élevés dans l'enseignement tertiaire [supérieur] de type B [enseignement supérieur court, type IUT ou BTS en France] (62 %) que dans l'enseignement tertiaire de type A [licence, master ou doctorat].

Les étudiants scolarisés à temps plein ont également de meilleures chances de réussir leurs études que ceux scolarisés à temps partiel. Selon le rapport, il n'existe en outre pas de corrélation observable entre les taux de réussite et les frais de scolarité à charge des étudiants.

 

Le rapport analyse également les dépenses moyennes par étudiant et par an dans le « pays type de l'OCDE », c'est-à-dire la moyenne simple des dépenses calculée sur la base de tous les pays membres de l'OCDE. Ces dépenses s'élèvent 10 115 euros en 2007, contre 9 670 € en 2006. En France, ce montant est égal à 10 000 € contre 9 065 € en 2006. Les pays de l'OCDE dépensent en moyenne 1,9 fois plus par étudiant de l'enseignement supérieur que par élève de l'enseignement primaire. La France se situe très légèrement au dessus de cette moyenne avec une dépense pour un étudiant de 2,1 fois supérieure à celle opérée pour un élève de l'enseignement primaire.

S'agissant des dépenses par étudiant cumulées sur la durée moyenne des études supérieures, les pays de l'OCDE y consacrent en moyenne autour de 40 723 €. La France se situe quasiment dans cette moyenne avec une dépense cumulée par étudiant de 40 210 €.

L'OCDE analyse enfin l'évolution des dépenses par étudiant entre 1995 et 2007. S'agissant de la France, les données montrent une progression globale des dépenses pour l'enseignement supérieur entre 1995 et 2007, mais des données manquantes concernant l'évolution des effectifs entre 1995 et 2007 ne permettent pas d'évaluer la variation des dépenses par étudiant en tenant compte de cette évolution des effectifs depuis 1995. Entre 2000 et 2007, l'OCDE pointe néanmoins une augmentation de 12 % de ces dépenses par étudiant en France.

 Un dernier chapitre du rapport porte sur la mobilité internationale en 2008. Cette année là, plus de 3,3 millions d'étudiants étaient scolarisés dans un pays dont ils n'étaient pas ressortissants, ce qui représente par rapport à 2007 une augmentation de 10,7 %. Depuis 2000, le nombre d'étudiants scolarisés à l'étranger dans l'enseignement supérieur a augmenté de 85 % dans le monde et de 67 % dans les pays de l'OCDE, soit une progression annuelle moyenne respectivement de 11 et 8 points. Selon les chiffres de 2008, la moitié des étudiants étrangers se répartissent entre cinq pays. Ce sont les États-Unis qui accueillent le plus d'étudiants étrangers (en valeur absolue) avec presque 19 % des effectifs mondiaux d'étudiants étrangers. Ils sont suivis par le Royaume-Uni (10 %), l'Allemagne (7 %), la France (7 %) et l'Australie (7 %).

Les étudiants en provenance d'Allemagne, de Corée, des États-Unis, de France, du Japon et de Turquie constituent par ailleurs les proportions les plus importantes d'étudiants en mobilité internationale originaires de pays de l'OCDE. Toutefois, en valeur absolue, ceux de Chine et d'Inde représentent les populations les plus importantes d'étudiants en mobilité internationale.

 Le rapport de l'OCDE est en ligne à l’adresse : http://www.oecd.org/document/35/0,3343,fr_2649_39263238_45917667_1_1_1_37455,00.html

 

Rentrée universitaire 2010-2011 : dossier complet sur le site service-public.fr

Le site service-public.fr a publié une revue de l’internet public consacrée à la rentrée universitaire. Une page internet bien utile pour y trouver toutes les informations relatives aux coûts des droits d’inscription et de la sécurité sociale étudiante, prix du ticket de resto U, montants des bourses et de l’aide au mérite, fonds national d’aide d’urgence, aide au logement, "loca-pass", portail étudiant, site "handi-U", web télévision de l’enseignement supérieur, enseignement à distance, orientation.

http://www.service-public.fr/actualites/00313.html?xtor=EPR-140

 

Plan numérique à l'université : 8,5 millions d'euros pour 2010-2011

Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche consacrera cette année 8,5 millions d'euros au développement des outils numériques et aux nouveaux usages multimédia. Ce budget sera géré par une nouvelle mission du ministère dédiée aux questions de numérique. Sur ces 8,5 millions d'euros, 25 % iront aux infrastructures, 35 % aux UNT (Universités numériques thématiques), 25 % aux contenus et à Canal U, 15 % à la formation numérique des enseignants.

Il est également prévu le lancement avant décembre d'un appel à projets « solutions numériques innovantes pour l'enseignement », afin que le e-learning devienne une composante du grand emprunt. Cet appel à projets, dont les modalités pratiques restent à définir, comprendra deux axes : un sur les contenus pédagogiques et les évolutions possibles au niveau des usages, l'autre sur les plates-formes d'apprentissage (serious games, réseaux sociaux, outils de création de ressources, etc.). Il s'agit à terme de parvenir à une vraie filière numérique dédiée à l'éducation et d’aboutir à la création de formations diplômantes ou qualifiantes dans à ce domaine.

Concernant le wifi, l'équipement total des universités est passé de 10 000 à 20 000 bornes en un an. 80 % des lieux universitaires sont couverts, 27 établissements ayant un taux de couverture de plus de 90 %, et 10 un taux compris entre 95 % et 100 % (Compiègne, Lyon-II Lumière, Nice Sophia Antipolis, Rennes-I et Rennes-II Haute-Bretagne, Nantes, Paris-III Sorbonne nouvelle, Paris-VI UPMC, Paris Dauphine, Sud Toulon var).

En ce qui concerne les podcasts, l'objectif fixé pour 2010 de 100 000 étudiants et 2 000 enseignants concernés est pratiquement atteint, avec à la rentrée 105 000 étudiants touchés, 1 750 enseignants formés, et 30 000 heures de cours disponibles (dont plus de 21 000 heures diffusées par 10 universités, les établissements les plus actifs étant Paris X, Paris-V Descartes, Poitiers, Paris-VI, l'UVSQ, Paris-II Panthéon Assas, Nice, Strasbourg, Rennes-I et le regroupement Grenoble universités.

Le ministère investit enfin 1 million d'euros pour créer des nouveaux services mobiles, comme par exemple le service « mon université numérique mobile » (http://m.univmobile.fr) accessible sur le web depuis le 7 septembre 2010. Ce site donnant accès à des informations et services numériques universitaires à partir d'un téléphone portable, est pour l'instant testé par les universités Paris-I Panthéon Sorbonne, Paris-XIII, Évry et UVSQ, soit 87 000 étudiants, et le sera à la rentrée 2011 par toutes les universités d'Île-de-France, soit 380 000 étudiants. Autres exemples de service de mobilité : Adele (http://mobile.adele.org), un site de recherche de logement étudiant, ou la mise en ligne sur iPad depuis début septembre de toutes les publications du Collège de France.

 

Dépense intérieure d'éducation par étudiant : + 19 % entre 2006 et 2009

En 2009, la dépense intérieure d'éducation s'élevait à 10 200 euros par étudiant d'université, contre 8 548 euros en 2006, soit une augmentation de 19 % entre 2006 et 2009. En CPGE, cette DIE était de 14 853 euros en 2009 contre environ 14 500 euros en 2006, soit une diminution de 1,5 % en 3 ans. La DIE retrace la dépense effectivement réalisée au travers des comptes des établissements, sur la base de l'ensemble des financements reçus.

 

Erasmus Mundus : la France en bas du tableau pour la qualité des enseignements

Selon une enquête réalisée par les agences Campus France et A2E2F auprès de 217 étudiants et alumni (1) Erasmus Mundus, la France arrive, avec 69 % d'étudiants satisfaits de la qualité des cours suivis lors de leur séjour en France dans le cadre du programme Erasmus Mundus, dernière les six pays comparés (Allemagne, Royaume-Uni, Portugal, Italie, Espagne, France). L'offre de services des établissements français est en revanche considérée comme étant la meilleure (aide pour trouver un logement, organisation des activités d'encadrement, soutien pour faire face aux procédures administratives qui sont estimées compliquées et fastidieuses). Les étudiants interrogés dans le cadre de cette étude ont pu comparer leur séjour en France à un ou deux autres pays dans lesquels ils ont également séjourné. Au total, ces autres pays sont au nombre de 20, à la tête desquels se place l'Espagne (25 %), suivie de l'Italie (15 %), du Portugal (13 %), du Royaume-Uni (11 %) et de l'Allemagne (9 %). Ces cinq pays fournissent l'objet principal de la comparaison avec la France.

Les questions qui leur ont été posées portent sur tous les aspects liés au séjour d'études y compris la qualité des cours et les méthodes d'enseignement, les procédures administratives, le logement, les services d'accueil et la vie sociale étudiante. L'enquête prend également en compte la motivation des étudiants pour venir en Europe, l'apprentissage de la langue ainsi que leur appréciation du programme d'études et de la France.

S'agissant des étudiants moins satisfaits de la qualité des cours en France, les remarques portent sur l’organisation des cursus et le niveau d'anglais des enseignants. A noter également, comme inconvénient régulièrement cité, la suspension de cours en raison de grèves.

Certains étudiants critiquent la hiérarchie stricte dans les relations entre étudiants et enseignants en France et « le rôle incontestable de l'enseignant comme unique détenteur du savoir ». Ils souhaiteraient une approche pédagogique plus souple et conviviale.

(1) Le terme « Alumni » désigne les anciens étudiants du programme 

 

Vie des étudiants

 Dispositif de « colocation solidaire » pour les étudiants

La ville de Toulouse, le Crous et l'Afev se sont associés pour proposer des appartements en colocation à des étudiants pour la rentrée universitaire 2010 en créant la KAPS (Koloc' à projets solidaires). En échange d'un appartement en colocation à prix modéré, les étudiants bénévoles devront s'engager dans des projets solidaires avec l'Afev à raison de quatre heures par semaine. À titre expérimental, la ville de Toulouse met quatre logements à la disposition du Crous pour onze étudiants, pour l'année universitaire 2010-2011. Ce projet est expérimenté sur trois autres sites en France : à Poitiers, Grenoble et en Île-de-France (quartier La Chapelle à Paris). D'autres sites (Lyon et Île-de-France) pourraient être ouverts à la rentrée 2011.

La gestion et l'entretien de ces appartements ainsi que l'équipement en mobilier (lit, bureau, armoire, matelas, traversin, chaises, table, réfrigérateur) sont assurés par le Crous. Les loyers mensuels s'élèvent à 272,42 euros par étudiant. Ce montant comprend les charges d'entretien et de gestion, l'équipement et l'eau. Compte tenu des aides au logement versées par la CAF, la partie du loyer restant à la charge réelle de l'étudiant sera comprise entre 141 et 182 euros par mois. Le Crous prélève sur le loyer une somme de 37,68 euros par résident, destinée à rembourser les frais d'équipement, et reverse le reste à la ville de Toulouse.

Les onze étudiants pourront, par exemple, intervenir dans l'animation de la vie étudiante sur le quartier, dans l'organisation d'actions facilitant le contact étudiants-quartier, famille-école, bailleur-famille. Une équipe de l'Afev les aidera dans le montage et la réalisation du projet ainsi que dans le bon déroulement de la vie en colocation.

Les étudiants peuvent s'inscrire pour participer à cette opération sur le site dédié, http://www.colocationsolidaire.org.

 

Formations - orientation

 

Sciences Po Paris ouvre un nouveau campus « euro-américain » à Reims

Sciences Po Paris a ouvert son 7ème campus du « collège universitaire » (premier cycle) au sein de l'ancien collège des Jésuites de Reims. La première promotion de ce « campus euro-américain » de Reims est composée de 81 élèves. Chaque cycle délocalisé ouvert en région depuis 2000 (à Dijon, Menton, Nancy, Poitiers, et au Havre) offre une spécificité internationale.

L’objectif de ce campus rémois est d'atteindre en vitesse de croisière 200 étudiants par promotion, dès que les locaux permettront de les accueillir, de telle sorte que dans trois ans, 600 élèves soient gérés depuis Reims, dont 400 sur place et 200 à l'étranger [pour la 3e année]. Dans un deuxième temps, il est envisagé de porter d'ici 5 ans les capacités d'accueil à un effectif de 1 500 à 1 800 étudiants.

Cette ouverture s’accompagne d’une politique active visant à favoriser « l'égalité des chances », notamment au travers d’une extension des CEP (conventions d'éducation prioritaire) de Sciences Po à quatre lycées de Champagne-Ardenne, à raison d'une par département.

Comme sur les autres campus régionaux, plus de la moitié de la promotion (43 élèves) ont été sélectionnés par la procédure internationale, le plus gros contingent provenant des États-Unis et du Canada, mais également des autres continents (Afrique, Asie, Europe, etc.).

Autres spécificités du campus rémois : « au-delà de la nature des étudiants étrangers, aux deux tiers issus d'Amérique du Nord, tous les cours seront donnés en anglais, dans un environnement bilingue.

 

Écoles de commerce : le groupe Iseg se réorganise en trois écoles distinctes

Le groupe Iseg, constitué d'une école à trois programmes dans 7 villes différentes (Iseg Sup, Iseg Finance et Executive) a décidé de se réorganiser : à la rentrée 2011, il y aura trois écoles différentes, autonomes, aux ambitions clairement définies, chacune étant présente dans les 7 villes. Les trois nouvelles écoles seront « Iseg business school », « Iseg Finance school » et « Iseg Marketing and communication school ». Elles continueront à recruter après bac et dureront 5 ans. La business school sera une école de commerce généraliste et recrutera via le concours Prism. Les deux autres écoles seront spécialisées et feront appel à beaucoup d'intervenants extérieurs experts en leur domaine. On y entrera sur dossier et entretien. Un des objectifs de cette réorganisation est d’acquérir le visa du ministère de l'Éducation nationale.

Le groupe Iseg compte 4 500 étudiants au total, dont environ 1 200 à Paris. Il appartient au groupe Ionis Education qui compte au total 15 écoles (dont l'Epita, l'Epitech, l'Esme Sudria et l'ISG) et 16 000 étudiants.

 

Etudes de Santé : vers une année obligatoire « d'internat senior » ?

L'Igas et l'IGAENR viennent de rendre public un rapport intitulé « Le post-internat, constats et propositions », qui préconise une réforme d'envergure du post-internat.

Les principales propositions de l'Igas-IGAENR concernent :

  • Une formation plus intensive durant la période d'internat, afin d'acquérir pendant cette période l'essentiel des connaissances jugées nécessaires en formation initiale (le post-internat ne doit plus être utilisé comme une période destinée à achever la formation).
  • La création d’une année obligatoire d’internat senior : Le post-internat ne remplissant pas actuellement sa fonction qui est de permettre au jeune médecin d'être pleinement autonome, la mission propose de le remplacer par une période complémentaire pour tous, destinée à acquérir une autonomie d'exercice, limitée à un an. Cette période de « seniorisation encadrée » aurait lieu avant l'obtention du DES (diplôme d'études spécialisées). Celui-ci retrouverait ainsi toute sa portée de titre professionnel attestant d'une capacité d'exercice autonome. Cette année complémentaire s'effectuerait donc sous un nouveau statut d' « interne senior » ou de « praticien junior » et les places d'accueil devraient être réparties comme les places d'internat (et non laissées à la discrétion des établissements et des chefs de service). A l'issue de cette période, les jeunes médecins pourraient soit poursuivre une carrière à l'hôpital sous statut de PH (praticien hospitalier) contractuel avant de passer le concours, soit s'orienter vers une installation en libéral ou un autre mode d'exercice salarié.
  • La revalorisation du DES : Pour faciliter l'accès à la carrière hospitalo-universitaire, l'obtention du DES (qui valide neuf ans d'études) devrait conférer de plein droit le grade de master en médecine. Les internes intéressés par la recherche doivent jusqu'à présent valider simultanément un DES et un diplôme de travail pour s'engager dans cette voie. Le doctorat serait en conséquence exigé pour candidater aux postes de MCU-PH (maîtres de conférences des universités- praticiens hospitaliers), comme il l'est pour les postes de maîtres de conférences en médecine générale.

 

Concours communs de recrutement Fesic / Esiee

Neuf grandes écoles d'ingénieurs de la Fesic (CPE Lyon, Epmi Cergy-Pontoise, Escom Compiègne, Eseo Angers-Paris-Dijon, HEI Lille, Isen Brest, Isen Lille, Isen Toulon et Isep Paris) se regroupent avec Esiee Paris et Esiee Amiens pour créer, en 2011, un nouveau concours commun accessible par le site portail admission-postbac et intitulé « concours puissance 11 ».

L'objectif de ce concours commun est d'augmenter la visibilité des écoles et de simplifier les procédures d'inscription des lycéens : un seul dossier de candidature sur admission-postbac, des droits d'inscription uniques (gratuits pour les boursiers). Les candidats seront sélectionnés sur dossier scolaire et sur des épreuves écrites communes aux 11 écoles.

Ce concours commun à 11 écoles offrira au total 1 600 places. Tous les membres du « concours puissance 11 » délivrent un titre d'ingénieur habilité par la CTI.

Le réseau Fesic regroupe 19 écoles d'ingénieurs recrutant après le baccalauréat (groupe Ecam, LaSalle Beauvais). De leur côté, le groupe Icam et les 4 écoles de la Fesia (formant des ingénieurs pour l'alimentation, l'agriculture et l'environnement) restent sur le portail « grandesecoles-postbac » (ou « fesic.org »).

  

A retrouver sur le blog peep sup

 

§                          Création d'une mission sur l'encadrement des week-end d'intégration

§                          En finir avec le bizutage !

§                          Universités : une attractivité retrouvée ?

§                          Revalorisation des bourses étudiantes : en effort notable !

 

http://peepsup.over-blog.com/ 
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